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Le passage: de 2015 à 2016 !

  • LNA
  • 4 janv. 2016
  • 2 min de lecture

Merveilleuse année 2016

Pour inaugurer cette année 2016, nous souhaitions publier un premier article dans la catégorie monde du travail.

Il y a de cela quelques semaines , j'échangeais avec une personne lors d'un colloque. Cet homme d'un âge certain, syndicaliste de longue date, s'intéressait à mon travail de thèse et de ma volonté d'engagement dans une réelle amélioration du monde du travail. Nous évoquions les conditions du travail actuelles au sein des entreprises et, tout particulièrement la question du salaire des femmes.

Comment est-il possible de seulement évoquer des conditions de travail plus justes alors même que, encore dans de très nombreuses entreprises la norme est de verser des salaires différents entre hommes et femmes ? Comment est-il possible encore dans notre monde, en 2016, qu'une différence de sexe engendre une rétribution différente pour un travail similaire? Pourquoi le simple fait d'être une femme est-il encore et toujours discriminant? Alors, mon interlocuteur me confiait comme il serait simple de mettre fin à cette discrimination. Il me disait que ce problème serait résolu, si toutes les femmes décidaient d'arrêter de travailler partout où elles se trouvent au même moment,. Deux heures durant pourraient suffirent, si elles se répétaient chaque semaine jusqu'à obtention d'un réel changement. Deux heures pour s'unir et affirmer une même volonté de voir enfin et définitivement une évolution équitable. Une transformation qui permettrait d'agir vers un monde du travail plus juste et cheminer vers cette éthique de la maturité en laquelle je crois fermement.

La nouvelle année commence avec ce doux rêve, et si, peut-être que nous pouvions croire en cet espoir nous pourrions commencer à changer le monde.

J'interviens dans le monde du travail à la demande des salariés, et je pense que chaque entreprise est comme une cellule de la vie sociale. Et dans ce microcosme, une vraie égalité homme-femme devient alors plus que nécessaire.

Alors, quand nous avons abordé entre deux cafés cette histoire de l'égalité des salaires homme-femme, il m'est apparu qui'l y avait là quelque chose à faire, quelque chose à dire.

Nous avons à nous exprimer en tant que femmes parce que nous sommes celles qui perdent le plus vite leurs droits. Parce qu'aujourd'hui, plus que jamais, les entreprises doivent montrer un véritable engagement dans le mieux être, et celà passe par le sentiment de justice sociale. Ce dernier se base sur deux axes essentiels: la justice distributive (répartition et distribution des richesses) et la justice procédurale (selon les travaux des nombreux psychologues sociaux tels Py et Somat). L'interrogation demeure, est-il possible de créer du bien être s'il n'y a pas une justice distributive des salaires?


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